Dès le second tour, Thierry Santa, candidat de l’intergroupe (élus Calédonie ensemble, Rassemblement-LR et Mouvement populaire calédonien), a été réélu à la tête du Congrès. Très honoré, le président a indiqué qu’il exercerait son rôle « comme les années précédentes, avec la plus totale impartialité », dans une « volonté d’ouverture » et avec « responsabilité » en vue de la préparation de la sortie de l’Accord de Nouméa.
« Le Congrès doit participer à ce travail de construction et de réflexion », a poursuivi Thierry Santa en évoquant la tenue des prochains états généraux de l’avenir. Il a d’autre part annoncé l’organisation de réunions au Congrès « pour aboutir à l’élaboration du socle de la communauté de destin qui synthétisera nos valeurs communes, la définition de l’identité calédonienne, l’organisation institutionnelle future et la stratégie économique et minière partagée ».